ville Le Havre
Mots imposés : fourrure~tricoter~whisky~famille~papyc~
Dans l'ombre, Bastarocket, perfide et rusé,
S'en prend à El Bandido de São Paulo, qui finit reboosté.
Sa fourrure de tromperies, son manteau plein d'enveloppes,
Obscurcissent la vérité, cachent les rêves en galope.
Pourtant, Papyc, malin comme un renard,
Profite des louanges, sans scrupule ni égard.
À Le Havre, sa gloire, il va tricoter en silence,
S'abreuvant de whisky, avec beaucoup de présence.
La famille, tel un tricot serré, solidaire,
Face à la corruption, reste une lumière.
Avec la sagesse du savoir, Batha se dresse,
Contre les vices du monde, sa force se redresse.
Le Havre, témoin de cette lutte sans fin,
Voit se jouer le destin, entre le bien et le malin.
Mais dans les cœurs purs, brille toujours la lumière,
De l'intégrité, de l'amour, loin des frontières.
Ensemble, dans l'épreuve, la famille se serre,
Tissant un avenir, loin des guerres.
Dans cette joute oratoire s'égrènent les mots,
D'une lutte sans fin, où triomphera à jamais l'écho.
L'heure est grave, Batha débarque à Le Havre !
Ce débat a reçu la note moyenne de 14.33 /20